BREG'ART PROMO

Nous avons tendance à confondre l'effort et la facilité. Cette tendance nous pousse à handicaper le travail de l'artiste et même détruire son talent. Souvenez-vous que la bible a dit que Dieu exige l'Homme de travailler et travailler ardemment. Pour la mise en valeur le travail de Jacksy, Breg'art Promo prend le plaisir de vous présenter cet artiste multicasquetté dans le milieu culturel haïtien.
Il est l'esclave de la musique et travaille quotidiennement pour défendre la tâche, la multicasquette.
Son ardeur au travail qu'il manifeste par à coups est un enthousiasme de commande né du besoin de se convaincre que tout va mieux dans le meilleur du milieu culturel. Jacksy, en s'avouant son affectivité de la musique, il se contraint à prendre un premier départ avec le Rap et le "zoul" et, à ensuite entamer un nouveau départ avec le Rap.
Son expérience met en lumière sa capacité de production de bonnes versions et son affection pour la musique; de préférence il s'agit bien plus d'un amour entre lui et la musique que d'une affection. Son statut d'un enfant passionné de la culture lui pousse à rejoindre en lui ce qu'il ressentait réellement dans sa relation avec la milieu culturel, son monde intérieur l'apparaît sous un nouvel éclairage, le "trapp compas".
Il doit chercher alors par tous les moyens à entrer dans l'univers des grands et continuer de promouvoir son talent qui n'est qu'un héritage, sans oser prendre le risque de le maître de ses écoutes, car ce qui se passe au niveau des expériences individuelles se trouve aux dimensions de la collectivité. Le signal semble bien lancé avec un merveil morceau baptisé "Zagayo".
Voyant Jacksy à l'exécution de cette version, je finis par identifier la musique en lui, ce qu'il représente pour la musique et ce que cette dernière représente en lui. Faites de ses oeuvres une forme de divertissement si vous voulez prendre du recul à ce rôle vous ne connaissez pas l'artiste, à quoi vous référer?

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Petit à petit l'oiseau fait son nid.
Petit à petit Roody fait son nom.
Dans sa costume d'apparence et sa cravate de bluff; Roody Woodboy a résisté pour construire une très belle carrière musicale. Dans les apparences, il se sent frustré quand il a à prendre une décision, il a peur de décevoir et d'être ensuite blasfermé. Dans son sentiment de bluff, il aligne les pour et les contre et imagine ce que la société pourra penser de lui. Et, sa résistance devient alors une source de bonheur...Le voici donc autoproclamé président de la jeunesse et ça lui paraît aujourd'hui une bonne aventure. Pour garder le titre, il a fait taire le désir de se satisfaire lui-même et prendre les besoins de la jeunesse comme primordial; il les a traités et fait passer sa revendication à travers un une meringue carnavalesque, par laquelle il a prouvé aux yeux de tout le monde qu'il est un artiste engagé et du même coup, renouvelé son mandat présidentiel. En signe de collaboration, les médias de leur côté, ont joué un rôle colossal et important en épargnant ce jeune engagé des bombardements discriminatoires de certaines autorités et les invitant à enlever le masque destructif derrière lequel se cache leur conscience. Par souci de rendre immortel ce moment, Roody Roodboy a développé une tendance à désavouer ou à déformer ses sentiments pour les rendre conformes aux exigences réelles-ou perçues-de son entourage.

Là encore, que l'on veuille ou non, il commence à frapper la porte des grands.

Chapeau ROODY ROODBOY!

UNE FOIS POUR TOUTES

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BREG'ART PROMO.

Comme toutes les autres pages, Breg'art Promo est créée dans le but d'aider les gens à aimer leur culture, à découvrir des jeunes talents, à apprécier et respecter les oeuvres des âmes qui se sacrifient pour permettre à la culture haïtienne de trouver une place aux côtés des autres cultures étrangères et penser à certains (es) artistes qui ont déjà porté leur quote part dans la valorisation de cette culture, mais oubliés (es) et ignorés (es).

Une image vaut mille mots, dit Conficius. Il est possible que cette image pousse les mélomanes avisés à reprendre contact avec des moments forts de la musique haïtienne, des passés lointains...L'époque où les artistes chantaient pour charmer les amants de la bonne musique, l'époque où le compas avait le challenge, et la compétition se faisait chanson contre chanson, une compétition qui rendait les artistes produire beaucoup plus et écrire leurs textes avec des mots en vers.
Il peut arriver en effet que certains ne connaissent pas l'image de quelle artiste parce qu'ils viennent de faire les connaissances du compas direct à peine, il en va de même pour ceux qui se familiarisent avec le milieu Hip-hop.
Aussi, cette image nous aide à comprendre une artiste qui demeure hanté par la nostalgie de son passage au sein de l'une des meilleures formations musicales de l'HMI, une formation musicale jusqu'à dâte son absence pèse lourdement et laisse des vides non comblés dans le milieu compas direct et un goût amer sur les lèvres des mélomanes et les amants de l'amour; quoi qu'elle existe par nom, quand il s'agit de se référer à des hits, sans doute elle demeure la référence avec des chansons telles que: "All i want", "Nan nannan", "Se pa pou dat", "T'écrivant"...etc.

Rapidement je vois paraître Zin dans sa belle époque et Shirley DESGROTTES dans sa peau avec "Son gita". Il est à ce moment-là, objet d'une acceptation chaleureuse qui cicatrise mes premières blessures affectives du compas de Neymours JEAN BAPTISTE.

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